lundi 11 octobre 2010
dimanche 26 septembre 2010
soirée érotique (lancement du #2 de la revue) en images
les voilà les belles les précieuses! guidées par les douces mains de Bruno Costantini, les revues s'envolent vers leurs mécènes-adoptants
en hommage à l'image offerte par Branka Nedimovic, l'objet accompagnant l'édition était cette fois un découpage à la manière d'un 'pop-up' dans des reproductions d'explosions atomiques.
Syndröm (clic!)lundi 20 septembre 2010
Les Participants à la Soirée et les Edités de la Revue :
Le Plongeur.
artiste phare de la scène performative et performante Nîmoise, héhé, Skip dit 'Le Plongeur' ne se contente pas de poser sur un ponton pour susciter le questionnement, il plonge! Nous attendons de voir la surprise préparée pour la soirée-évènement Chut!#2 et les propositions pour Chut!#3.
Le Plongeur pratique le dessin. grand format, au stylo bic, bleu de préférence. Son stylo d'écolier lui sert aussi à écrire des mots : rassemblés dans un ouvrage, ça donne un texte intitulé "la vague la plus loin du monde". Il cherche des sponsors, Chut! lui propose de participer gracieusement à sa 3ème édition. Vous entrez dans l'immortalité, Monsieur Gaillard.
Pour voir, entendre, essayer de comprendre un peu mieux l'univers de cet homme-là
http://www.myspace.com/leplongeur
Natyot.
elle se vêt de Paon, l'oiseau fétiche ami d'Héra, dont elle a paré les plumes des cents yeux d'Argus. (si vous ne comprenez pas cette phrase, revoyez votre mythologie grecque...) bref, j'adore les oiseaux. Natyot érotique, slame ses expériences au son du violoncelle qui l'accompagne. C'est avec joie que nous l'accueillons pour la soirée de sortie Chut!#2. C'est aussi avec beaucoup d'impatience que nous attendons ses propositions pour le 3ème opus. visitez son espace personnel sur
http://www.myspace.com/slamerotique
zoB' (chanteur engagé cherche cause à défendre).
zoB' crée un concept. zoB' crée une ambiance. zoB' crée, c'est déjà pas mal.
nous l'avions invité à participer au #1, nous ne l'aurons pas sur papier glacé mais sur scène pour le #2. il concocte une petite cocotte minute explosive.
pour ceux qui débarquent, le point de rdv c'est sur
Syndrôm, créateur de Pavillon36.
Sam est musicien. d'abord à la guitare, puis sur ses consoles et ordinateur, il organise les sons pour ravir nos petites oreilles. sa musique électronique parfois très douce parfois déstructurée, ne manque jamais de nous faire réagir. il a créé il y a quelques temps un net label connu sous le nom de Pavillon36. Syndrôm ne s'arrête pas là, il participe à des compilations qui rassemble de très bons, voire les meilleurs. il a également permis à Chut! #2 fait du bruit de publier 2 de ses créations musicales.
consultation de son blog personnel : http://www.les-sombres-parfums.blogspot.com
consultation du label : http://www.pavillon36recordings.blogspot.c
Bienvenue à Nils Bertho dans l'aventure non pas terrestre-mais-ordinaire-extra de la revue Chut!
ce cher petit Nils -ayant un humour très fin, vous pouvez le remarquer rien qu'à son adresse de messagerie- nous honore de sa présence avec un dessin de la même puissance sonore qu'un vol de papillon, je dirais que l'effet visuel produit a le fracas d'une avalanche. (...effet papillon/effet boule de neige... putain si je suis obligée d'expliquer mes jeux de mots, maintenant!)
Ce jeune homme nous vient, quel hasard, des Beaux-Arts de Nîmes.
vous pouvez voir ses dessins-décalés sur son site :
nilsbertho.com
cliquez sur l'image pour la faire apparaître, reproduisez cette action pour la faire disparaître et ainsi en choisir une autre.
merci Nils.
vous pouvez aussi con-sulter Nils sur FB, il adore ça . Offre réservée aux intimes.
Anthony Mollon, aka Anthony Mallone.
Antho a plusieurs expériences du monde de la radio et de l'animation en général. Antho fait aussi de la musique. Antho écrit des textes. Antho aime le micro.
il a composé une symphonie pour fait du bruit et c'est tout naturellement que nous lui donnons aussi un carton rouge... oups! une culotte rose... r-oups! carte blanche pour notre soirée autour de l'érotisme.
Antho a créé son double perso; Anthony Mallone, support de la critique qu'il pratique à l'encontre de ce qui lui déplaît (notamment la tv). mais en humour, toujours.
visitez http://www.myspace.com/mycrob
*M.ev, la fille.
ceux qui me connaissent.
ceux qui ne me connaissent pas.
mon blog n'est presque pas à jour. j'ai eu un bel été bien rempli. pour cette soirée je vivrai un texte assez court s'apparentant plutôt à un essai. il n'est pas du tout érotique d'ailleurs. je m'en fiche, je fais ce que je veux.
http://www.tolliamev.blogspot.com
Également :
Damien Charamel http://damiencharamel.fr/
et Jean-Claude Gagnieux
mardi 14 septembre 2010
lundi 13 septembre 2010
sortie du #2!
nous sommes ravis de vous inviter la Soirée de Présentation du numéro deux de la revue Chut! au 27 Rue Bec de Lièvre, à Nîmes, le jeudi 23 Septembre à partir de 19 heures,
avec les P.P.E (Participations Performatives d'Exception) de : Jean-Claude Gagnieux, Natyot et Gaëlle Costil, Le Plongeur, Eve Maillot, Syndröm, Gerbeck et zoB'
au plaisir de partager un verre avec vous,
le collectif Chut!
mercredi 30 juin 2010
Exposition Blansilence, Eve Maillot, Hélène Agniel
suite à l'invitation de la galerie AL/MA et en partenariat avec l'association Le Passe Muraille, Eve Maillot et Hélène Agniel interviennent à la chapelle de St Etienne d'Issensac, du 19 Juin au 1er Août
dimanche 9 mai 2010
Eve Maillot, Bruno Costantini et Hélène Agniel au Hors Les Murs des Boutographies
Bruno Costantini et Eve Maillot
Hélène Agniel
Bruno Costantini
Eve MaillotDans le cadre des Boutographies, festival photo 10ème édition, Eve Maillot, Bruno Costantini et Hélène Agniel exposent au Living Room, espace de création contemporaine, 5 rue Fouques à Montpellier.
Bruno Costantini est concentré depuis plusieurs années sur la notion de fiction et d’aventure ; son approche repose sur l’étude critique des paradigmes de ces genres, qu’il réintroduit ensuite dans des images ou des éditions, de manière plus ou moins visible : le héros positif, le road movie, le récit de voyage…
Dans la série Les héros ne meurent jamais l’artiste est photographié dans des costumes et des poses qui concourent à l’édification d’un modèle enfantin de héros : cow-boy, loup de mer, trappeur…
Les images de Bruno Costantini ne sont plus limitées à leur fonction iconographique, mais posent la question de leur fonction fondamentale, qui peut être de renseigner sur un sujet, ou d’indiquer qu’elles se conforment au consensus sur ce sujet.
C’est bien l’essence même de la fiction qui est posée et qui est située entre les pôles du plausible (faire croire à la narration) et du fictif (porter à la fois l’ambition de réalité et son affranchissement).
(Françoise Lonardoni)
Le regard que porte Hélène Agniel sur le monde montre une aptitude particulière à se détacher du cadre restreint de l’intelligence utile. Dans son travail photographique, elle combine en permanence deux images du réel : l’image physique (objective, neutre) d’un sujet et son image «psychique» (Merleau Ponty)
Elle met en place des procédures radicalement nouvelles: avant de photographier, elle prépare des scènes, toujours avec des objets sans grade, qui souvent présentent plusieurs registres visuels: une image photographique cohabite avec un miroir, une autre avec des morceaux de coton. Si la métamorphose est commandée, elle n’est certainement pas contrôlée jusque dans ses moindres effets. Car en dépit de cette évolution presque ontologique dans la méthode, Hélène Agniel parie toujours sur l’hypothèse de la réversibilité du réel.
(F.L)
La pratique de Eve Maillot s’inscrit dans le champ du sensible. Les détails : ces petites choses qui font la différence, les formes érotiques, enveloppantes, envoûtantes et repoussantes constituent le champ d'expérimentation de l'artiste.
Surgissement inattendu qui saisit celui qui regarde.
Dans ses réalisations, sophistiquées, délicates, protéiformes, elle rejoint un espace sauvage et originel que la plupart aujourd’hui fuit. Là se jouent la contradiction et la tension. Œuvres tactiles, tentantes, épidermiques.
Dans la réalisation même de ses photographies, c'est la perte de l'échelle, par un cadrage très serré, qui créé une dimension mystérieuse et rend les 'choses' insaisissables. On ne peut se raccrocher à aucun détail qui nous permettrait d'entendre l'image. Le sens n'est plus, au profit de la sensation.
(A.M)
Bruno Costantini est concentré depuis plusieurs années sur la notion de fiction et d’aventure ; son approche repose sur l’étude critique des paradigmes de ces genres, qu’il réintroduit ensuite dans des images ou des éditions, de manière plus ou moins visible : le héros positif, le road movie, le récit de voyage…
Dans la série Les héros ne meurent jamais l’artiste est photographié dans des costumes et des poses qui concourent à l’édification d’un modèle enfantin de héros : cow-boy, loup de mer, trappeur…
Les images de Bruno Costantini ne sont plus limitées à leur fonction iconographique, mais posent la question de leur fonction fondamentale, qui peut être de renseigner sur un sujet, ou d’indiquer qu’elles se conforment au consensus sur ce sujet.
C’est bien l’essence même de la fiction qui est posée et qui est située entre les pôles du plausible (faire croire à la narration) et du fictif (porter à la fois l’ambition de réalité et son affranchissement).
(Françoise Lonardoni)
Le regard que porte Hélène Agniel sur le monde montre une aptitude particulière à se détacher du cadre restreint de l’intelligence utile. Dans son travail photographique, elle combine en permanence deux images du réel : l’image physique (objective, neutre) d’un sujet et son image «psychique» (Merleau Ponty)
Elle met en place des procédures radicalement nouvelles: avant de photographier, elle prépare des scènes, toujours avec des objets sans grade, qui souvent présentent plusieurs registres visuels: une image photographique cohabite avec un miroir, une autre avec des morceaux de coton. Si la métamorphose est commandée, elle n’est certainement pas contrôlée jusque dans ses moindres effets. Car en dépit de cette évolution presque ontologique dans la méthode, Hélène Agniel parie toujours sur l’hypothèse de la réversibilité du réel.
(F.L)
La pratique de Eve Maillot s’inscrit dans le champ du sensible. Les détails : ces petites choses qui font la différence, les formes érotiques, enveloppantes, envoûtantes et repoussantes constituent le champ d'expérimentation de l'artiste.
Surgissement inattendu qui saisit celui qui regarde.
Dans ses réalisations, sophistiquées, délicates, protéiformes, elle rejoint un espace sauvage et originel que la plupart aujourd’hui fuit. Là se jouent la contradiction et la tension. Œuvres tactiles, tentantes, épidermiques.
Dans la réalisation même de ses photographies, c'est la perte de l'échelle, par un cadrage très serré, qui créé une dimension mystérieuse et rend les 'choses' insaisissables. On ne peut se raccrocher à aucun détail qui nous permettrait d'entendre l'image. Le sens n'est plus, au profit de la sensation.
(A.M)
vendredi 7 mai 2010
mercredi 28 avril 2010
lundi 12 avril 2010
Chut! au Hors les murs des Boutographies à Montpellier, du 8 au 23 Mai
intention de Eve Maillot
intention d'Hélène Agniel
intention de Bruno CostantiniExposition au Living Room, 5 rue fouques, Montpellier
Bruno Costantini est concentré depuis plusieurs années sur la notion de fiction et d’aventure ; son approche repose sur l’étude critique des paradigmes de ces genres, qu’il réintroduit ensuite dans des images ou des éditions, de manière plus ou moins visible : le héros positif, le road movie, le récit de voyage…
Dans la série Les héros ne meurent jamais l’artiste est photographié dans des costumes et des poses qui concourent à l’édification d’un modèle enfantin de héros : cow-boy, loup de mer, trappeur…
Les images de Bruno Costantini ne sont plus limitées à leur fonction iconographique, mais posent la question de leur fonction fondamentale, qui peut être de renseigner sur un sujet, ou d’indiquer qu’elles se conforment au consensus sur ce sujet.
C’est bien l’essence même de la fiction qui est posée et qui est située entre les pôles du plausible (faire croire à la narration) et du fictif (porter à la fois l’ambition de réalité et son affranchissement).
(Françoise Lonardoni)
Le regard que porte Hélène Agniel sur le monde montre une aptitude particulière à se détacher du cadre restreint de l’intelligence utile. Dans son travail photographique, elle combine en permanence deux images du réel : l’image physique (objective, neutre) d’un sujet et son image «psychique» (Merleau Ponty)
Elle met en place des procédures radicalement nouvelles: avant de photographier, elle prépare des scènes, toujours avec des objets sans grade, qui souvent présentent plusieurs registres visuels: une image photographique cohabite avec un miroir, une autre avec des morceaux de coton. Si la métamorphose est commandée, elle n’est certainement pas contrôlée jusque dans ses moindres effets. Car en dépit de cette évolution presque ontologique dans la méthode, Hélène Agniel parie toujours sur l’hypothèse de la réversibilité du réel.
(F.L)
La pratique de Eve Maillot s’inscrit dans le champ du sensible. Les détails : ces petites choses qui font la différence, les formes érotiques, enveloppantes, envoûtantes et repoussantes constituent le champ d'expérimentation de l'artiste.
Surgissement inattendu qui saisit celui qui regarde.
Dans ses réalisations, sophistiquées, délicates, protéiformes, elle rejoint un espace sauvage et originel que la plupart aujourd’hui fuit. Là se jouent la contradiction et la tension. Œuvres tactiles, tentantes, épidermiques.
Dans la réalisation même de ses photographies, c'est la perte de l'échelle, par un cadrage très serré, qui créé une dimension mystérieuse et rend les 'choses' insaisissables. On ne peut se raccrocher à aucun détail qui nous permettrait d'entendre l'image. Le sens n'est plus, au profit de la sensation.
(A.M)
Dans la série Les héros ne meurent jamais l’artiste est photographié dans des costumes et des poses qui concourent à l’édification d’un modèle enfantin de héros : cow-boy, loup de mer, trappeur…
Les images de Bruno Costantini ne sont plus limitées à leur fonction iconographique, mais posent la question de leur fonction fondamentale, qui peut être de renseigner sur un sujet, ou d’indiquer qu’elles se conforment au consensus sur ce sujet.
C’est bien l’essence même de la fiction qui est posée et qui est située entre les pôles du plausible (faire croire à la narration) et du fictif (porter à la fois l’ambition de réalité et son affranchissement).
(Françoise Lonardoni)
Le regard que porte Hélène Agniel sur le monde montre une aptitude particulière à se détacher du cadre restreint de l’intelligence utile. Dans son travail photographique, elle combine en permanence deux images du réel : l’image physique (objective, neutre) d’un sujet et son image «psychique» (Merleau Ponty)
Elle met en place des procédures radicalement nouvelles: avant de photographier, elle prépare des scènes, toujours avec des objets sans grade, qui souvent présentent plusieurs registres visuels: une image photographique cohabite avec un miroir, une autre avec des morceaux de coton. Si la métamorphose est commandée, elle n’est certainement pas contrôlée jusque dans ses moindres effets. Car en dépit de cette évolution presque ontologique dans la méthode, Hélène Agniel parie toujours sur l’hypothèse de la réversibilité du réel.
(F.L)
La pratique de Eve Maillot s’inscrit dans le champ du sensible. Les détails : ces petites choses qui font la différence, les formes érotiques, enveloppantes, envoûtantes et repoussantes constituent le champ d'expérimentation de l'artiste.
Surgissement inattendu qui saisit celui qui regarde.
Dans ses réalisations, sophistiquées, délicates, protéiformes, elle rejoint un espace sauvage et originel que la plupart aujourd’hui fuit. Là se jouent la contradiction et la tension. Œuvres tactiles, tentantes, épidermiques.
Dans la réalisation même de ses photographies, c'est la perte de l'échelle, par un cadrage très serré, qui créé une dimension mystérieuse et rend les 'choses' insaisissables. On ne peut se raccrocher à aucun détail qui nous permettrait d'entendre l'image. Le sens n'est plus, au profit de la sensation.
(A.M)
numéro un (1) de Chut! (prend son envol)
Hélène Agniel, Branka Nedimovic, Julia Scalbert, Eve Maillot
Philémon (société volatile), Julien Ruel, Sonia Foulc, pêle-mêle, Bruno Costantini, Eve Maillot, Hélène Agniel, zoB'
Sonia Foulc, Philémon, Bruno Costantini, Julien Ruel, Hélène Agniel, Branka Nedimovicdimanche 14 mars 2010
vendredi 12 février 2010
dimanche 31 janvier 2010
Revue
Dans le cadre de la promotion de nos pratiques, et parce qu'on avait envie de créer un support qui nous permette de nous exprimer, nous éclater, inviter des artistes dont on apprécie le travail, et le montrer... nous avons décidé de nous mettre en gestation d'une petite revue, qui devrait naître dans la semaine qui vient.
Pour tout vous dire, elle pointe déjà le bout de son nez, et le proto est en ce moment même sous mes yeux... j'en pleurerais de joie!
Le premier N° de notre bébé a pour intitulé "prend son envol". Acte symbolique, donc, que cette sortie en début d'année, mais tout de même après l'effervescence des fêtes-de-fin-puis-de-début-d'année... histoire d'être entendu au milieu de tout ce brouhahahaha!
Chut! prend donc son envol d'ici la semaine prochaine, une invitation en forme de gros coeur rosé sera éditée très très prochainement.
Au programme de la soirée de lancement : des performances, des gens qui sourient et vous donnent la patate, des belles choses à voir et à entendre, un peu de nous et surtout les 100 exemplaires de Chut! qui chercheront des parents adoptifs. Nous espérons donc un beau lancement pour une revue qui a vocation de fusée, et beaucoup de visiteurs pour nous mettre une ambiance de feu.
A très vite, a très vite*
M.ev
mardi 12 janvier 2010
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